VISO 03/2013 - LANDSCHAFTSARCHITEKTUR / PAYSAGE - Festspielgelände Römersteinbruch, St. Margarethen/AT


Der Römersteinbruch St. Margarethen. I La carrière romaine de St. Margarethen.

Festspielgelände im Burgenland (Ö) I
Une scène naturelle pour festivals dans le Burgenland (A)
 
Theatralische Landschaft I
Un paysage theatral
   Unerwartet bricht in der kargen Hügellandschaft unweit des Neusiedler Sees ein mehr als 2000 Jahre alter Steinbruch wie ein Canyon in die Tiefe. Der Römersteinbruch St. Margarethen gehört zu den ältesten Europas und dient auch als Aufführungsort für Oper und Schauspiel.
 
   C’est dans le paysage de collines arides non loin du lac de Neusiedl qu’une carrière vieille de plus de 2000 ans s’ouvre à ciel ouvert, inattendue, comme un canyon en profondeur: la carrière romaine de St. Margarethen compte parmi les plus anciennes d’Europe et sert également de coulisse à des opéras et à des pièces de théâtre.

Text | Texte: Michael Koller
Fotos | Photos: Hertha Hurnaus

   In den 1960er-Jahren initiierte die österreichische Gemeinde St. Margarethen Passionsspiele im naheliegenden Römersteinbruch. Laiendarsteller nahmen in Eigenregie kleine Eingriffe zur Gestaltung der Bühne vor und stellten Holzbänke für die Zuschauer auf. Der heutige Intendant Wolfgang Werner entwickelte dann die Idee, die Lokalität zur Austragung grosser Opernfestspiele zu nutzen und auszubauen. Um die bis zu 5000 Besucher empfangen zu können, wurden die Zuschauerränge mit Klappstühlen versehen und einzelne Container für die Toiletten, das Catering und den Backstagebereich aufgestellt. Während vier Jahren werden Opern aufgeführt, im fünften finden jeweils die Passionsspiele statt. Um dem steigenden Interesse an den Festspielen nachzukommen, entschloss sich die Betreibergesellschaft, das über die Jahre gewachsene bauliche Umfeld der imposanten Freiluft-Arena heutigen Ansprüchen anzupassen und diese infrastrukturell wie architektonisch aufzuwerten. 2005 wurde ein Wettbewerb ausgelobt, den das Büro «AllesWirdGut» (AWG) gewann. 

   Dans les années 60, la commune autrichienne de St. Margarethen a lancé les festivals de la Passion du Christ dans la carrière romaine toute proche. Les acteurs amateurs intervinrent alors quelque peu, en régie propre, pour configurer la scène et installèrent de simples bancs en bois pour les spectateurs. L’intendant d’aujourd’hui, Wolfgang Werner, mit ensuite au point l’idée d’utiliser et d’aménager ce lieu pour organiser de grands festivals d’opéra. Pour pouvoir recevoir jusqu’à 5000 visiteurs, les rangées de sièges pour les spectateurs ont été équipées de chaises pliantes et on a placé des conteneurs séparés pour les toilettes, la restauration et les coulisses. Pour répondre à l’intérêt croissant porté aux festivals, la société gérante décida d’adapter le complexe de bâtiments environnants qui, au cours des années, s’étaient étendus dans l’imposante arène de plein air aux exigences d’aujourd’hui et de les mettre en valeur, tant sur le plan des infrastructures que de celui de l’architecture. En 2005, un concours fut lancé, il fut gagné par le bureau «AllesWirdGut» (AWG). Aujourd’hui, les opéras ont lieu sur une durée de quatre ans tandis que le festival de la Passion du Christ se tient, lui, tous les cinq ans.

Die serpentinenartige Rampe. I La rampe en serpentins.

Vollendete Dramaturgie I
Une dramaturgie accomplie 
   Für die Architekten war von Anfang an klar, dass der Besuch der Aufführung schon beim Aussteigen aus dem Auto oder dem Bus beginnt. Die bevor stehende Darbietung sollte «nur» eine Station auf dem Weg durch die unterschiedlichen Raumsequenzen der Anlage sein. Die Fahrzeuge werden auf dem Eingangs-Plateau geparkt, und von dort gehen die Besucher eine erste Treppe hinunter, die zu einem abgesenkten Vorplatz führt. Hier befindet sich das Eingangsgebäude, das eine bereits bestehende Kerbe an der Geländekante schliesst und in dem der Kartenschalter und ein kleiner Shop untergebracht sind. Im Durchgang dieses Gebäudes kann der Beobachter den Kirchturm von St. Margarethen ausmachen, den die Architekten dramaturgisch ins Bild gesetzt haben. Dieser Blick stellt den Bezug zum Dorf her und soll in Erinnerung rufen, dass die Festspiele ohne den Einsatz der lokalen Bevölkerung nicht zu ihrem Ruhm gelangt wären.

   Pour les architectes, il était clair que la visite d’un spectacle commence dès que l’on sort de la voiture ou du bus. La représentation imminente elle-même n’est censée être «qu’une» étape sur le chemin des différentes séquences spatiales du complexe. Après avoir garé les véhicules sur le plateau d’entrée, les visiteurs descendent un premier escalier jusqu’à un parvis surbaissé. C’est à cet endroit que se trouve le bâtiment d’entrée qui ferme une entaille qui existe déjà au bord du terrain où la billetterie et un petit magasin ont trouvé place. Lorsqu’il se trouve dans le passage de ce bâtiment, l’observateur peut repérer le clocher de St. Margarethen que les architectes ont mis en scène de manière dramaturgique. Cette vue fait la corrélation avec le village et doit nous rappeler que, sans l’intervention de la population locale, le festival ne connaîtrait pas sa renommée actuelle. 

Situation.

   Vom Eingangsgebäude aus wird man über einen Geländeeinschnitt – dem Beginn der Promenade – zu einem kurzen Fussgängertunnel geleitet, der das Spannungsmoment des Entdeckens der Aufführungsstätte bewusst verstärkt. Der Durchgang ist mit einem Bühnenvorhang vergleichbar, da sich der Steinbruch in seiner Gesamtheit zum ersten Mal an seinem Ausgang präsentiert. Auf diese Weise bieten die Architekten von «AllesWirdGut» den Gästen das Überraschungsmoment, das sie selbst bei der ersten Besichtigung des Steinbruchs erfahren hatten. 

   A partir du bâtiment d’entrée, on passe par une brèche de terrain – le début de la promenade – pour accéder à un court tunnel piéton qui renforce consciemment la tension de la découverte du lieu de représentations. Le passage est comparable à un rideau de scène étant donné que la carrière se présente, dans son ensemble, pour la première fois à sa sortie. De cette manière, les architectes offrent le moment de surprise qu’ils ont connu eux-mêmes lors de leur toute première visite de la carrière.

Das Eingangsgebäude am Beginn der Promenade I Le bâtiment d’entrée au début de la promenade.


Promenade architecturale I Promenade architecturale 
   Am Ende des Tunnels beginnt die eigentliche, rund 330 Meter lange Rampe. Ihre Form und ihr Verlauf ergaben sich unter anderem aus dem Wunsch der Architekten, die Besucher bewusst an die Felswände heranzuführen und sie unmittelbar erlebbar zu machen. Einmal befindet man sich hoch oben über einer Schlucht, dann wiederum so nahe an der Felswand, dass man sie berühren kann, und etliche Male wandelt man durch und über Baumkronen. Auf diesem Weg ändert man immer wieder seine Blickwinkel und Gehrichtungen. AWG setzt die Rampe als präzise, gerade Linie in die Landschaft und kopiert diese nicht einfach formal. An anderen Stellen wiederum wollten die Architekten keinen zu stark kontrastierenden Baukörper platzieren. So entstanden die scheinbar zufällig angeordneten, mikadoähnlichen, schräg stehenden Rundstützen, die als Anlehnung an den existierenden Baumbestand gelesen werden können. 

   C’est à la fin du tunnel que commence la rampe proprement dite, longue d’environ 330 mètres. Sa forme et sa courbure sont le fruit, entre autres, du souhait des architectes d’amener les visiteurs, tout à fait consciemment, près des parois rocheuses et de leur en permettre une approche directe: une fois on surplombe de bien haut des gorges, ensuite en revanche on se trouve si près de la paroi rocheuse que l’on peut la toucher et ensuite à nouveau on traverse des cimes d’arbres. Sur ce chemin, on modifie sans cesse son point de vue et son sens de marche. AWG pose la rampe comme une ligne droite exacte dans le paysage et se contente de le copier ainsi, pas simplement de manière formelle. Par contre, à d’autres endroits, les architectes ne voulaient pas placer de corps de bâtiment aux contrastes trop forts. C’est ainsi que les piliers ronds, inclinés, semblables à des baguettes de mikado, au placement qui paraît faussement aléatoire, ont vu le jour; ils peuvent être revisités comme une référence aux arbres existants.
 
Das Plateau am Eingang. I Le plateau près de l’entrée.


 Was sich dem Besucher auf seinem Weg nach unten eröffnet, ist eine Landschaft von eigenständiger Schönheit, die sich durch präzis geführte Schnittkanten, exakt gearbeitete Flächen und wohlüberlegte Subtraktionen der Felsen auszeichnet, und die letztlich als ein Nebenprodukt eines Ressourcenabbaus aus längst vergangenen Tagen zurückblieb. Die Abraumarbeiten der Vergangenheit könnten neu als minutiös geplante und sauber ausgeführte Architektur betrachtet werden. Sie haben verschiedenartige räumliche Situationen hinterlassen, die die Qualitäten eines Bauwerks aufweisen, weil sie schon fast bewusst komponiert und inszeniert erscheinen.

   Ce qui s’ouvre au visiteur lorsqu’il poursuit son chemin vers le bas est un paysage d’une beauté toute spéciale qui se caractérise par des arêtes de coupe au tracé précis, par des surfaces travaillées avec exactitude et des soustractions bien pensées des rochers et qui survécut finalement en tant que produit secondaire d’une extraction de ressources du temps passé. Les travaux de déblaiement du passé peuvent être considérés comme une architecture planifiée avec minutie et réalisée proprement. Ils ont laissé des situations dans l’espace de différents types qui présentent les qualités d’un ouvrage de construction parce qu’elles paraissent presque comme déjà délibérément composées et mises en scène.


Der Blick auf die umliegende Landschaft. I La vue sur le paysage environnant.

   Neben den gestalterischen Gesichtspunkten hatten natürlich auch die Kosten und der Versuch, so wenig Andockpunkte im Felsen wie möglich zu schaffen, einen entscheidenden Einfluss auf die Gestalt des Rampenbauwerks. Am unteren Ende mündet es in einen Platz, der durch den Cateringbereich auf der einen Seite umschlossen wird und der Böschung hinauf zu den höheren Rängen auf der gegenüberliegenden.

   En plus des aspects esthétiques, les coûts et l’essai de créer aussi peu de points d’ancrage dans la roche que possible ont évidemment eu une influence décisive sur la configuration de l’ouvrage de la rampe. A l’extrémité inférieure, il aboutit en une place qui est cernée par l’espace restauration d’un côté et le talus qui monte vers les rangées supérieures de sièges pour les spectateurs sur le côté opposé.


Der Foyerbereich neben der Haupttribüne. I L’espace d'accueil à côté de la tribune principale.

Vier sind genug I Avec quatre, il y en a assez
   In der Materialverwendung beschränken sich die Architekten auf vier Baustoffe: Den Corten-Stahl, unter anderem für die gesamte Rampenkonstruktion, die unbehandelte Lärche für die Verschalung der Innenseiten der Rampenbrüstungen, den brettrau geschalten Sichtbeton im Bereich des Cateringebäudes und die weiss gefärbten Faserzementplatten. Sie werden eingesetzt, wo taktile Feinheit gefragt ist und die Besucher mit Gebäudeoberflächen in direkten Kontakt kommen – zum Beispiel beim Ticketschalter, den Cateringtheken und Toiletteneingängen. Ein Teil des Steinbruchs wird nach wie vor für die Reparaturarbeiten an verschiedenen Wiener Gründerzeitbauten genutzt. Der Kalksandstein für den Bau des Wiener Stephansdoms kam ebenso aus dem Römersteinbruch wie auch das Baumaterial für zahlreiche andere Prachtbauten der österreichischen Hauptstadt, beispielsweise die Albertina oder das Schloss Schönbrunn. Die «Stephanswand» erinnert heute noch an die grosse Bedeutung des Steinbruchs.

   Une partie de la carrière continue à être en activité pour les travaux de réparation menés sur différents bâtiments datant du temps des bâtisseurs de Vienne. Le calcaire pour la construction de la cathédrale Saint-Etienne de Vienne provient de la carrière romaine tout comme les matériaux de construction pour de nombreux autres magnifiques bâtiments de la capitale autrichienne comme l’Albertina ou le château de Schönbrunn. Le «Stephanswand» est encore une réminiscence de nos jours à la grande importance qu’a eue la carrière. Les architectes d’AWG se sont limités, pour l’utilisation des matériaux, à quatre matériaux de construction: L’acier Corten, entre autres pour l’ensemble de la construction de la rampe, le mélèze non traité pour le coffrage des faces intérieures des garde-fous de la rampe, le béton apparent brut de décoffrage dans la zone du bâtiment pour la restauration et les plaques de fibrociment teintées en blanc. Ce matériau est mis en œuvre là où l’on attend une finesse tactile et où les visiteurs sont directement en contact avec les surfaces des bâtiments – par exemple au guichet des tickets, aux comptoirs de restauration et dans les entrées des toilettes.

Toilettenanlagen unter den Zuschauerrängen. I Les toilettes sous les rangées de spectateurs.

   AWG beabsichtigte von Anfang an, eine Architektur zu entwerfen, die von der Natur zurückerobert werden kann. Sie sollte auf die Naturszenerie aufbauen und sich dieser gleichzeitig unterordnen. Das Rampenbauwerk war aufgrund der grossen Spannweiten nur in Metall realisierbar, wobei sich der Corten-Stahl aufgrund seiner Pflegeleichtigkeit und seiner eleganten, zeitlosen Ausstrahlung besonders anbot. Auch farblich harmoniert das Material mit der Natur, mit der Schroffheit der Felswände und der industriellen Vergangenheit des Ortes. Der Stahl verändert sich durch die Witterungseinflüsse, ebenso wie die unbehandelte Lärche und der raue Sichtbeton. Die Rampenteile mit Spannweiten bis zu 30 Meter wurden vorgefertigt und mit einem mobilen Kran von der obersten Ebene – dem Plateau – in die vorgesehenen Positionen abgesenkt. Die Anlage realisierte man in zwei Phasen, da man die Bauarbeiten während der Aufführungen im Sommer unterbrochen hatte. Zuerst wurden die Toilettenanlagen realisiert, das Catering- und das Eingangsgebäude, danach die Rampe, der Backstagebereich und die Kinderoper.

   Dès le début, l’intention d’AWG était un projet d’architecture qui permettant une reconquête par la nature. Ce projet devait s’appuyer sur la mise en scène de la nature et en même temps s’y soumettre. En raison de ses grandes portées, l’ouvrage de la rampe ne pouvait être réalisé qu’en métal; en raison de sa facilité d’entretien et de son aspect élégant et intemporel, l’acier Corten convenait tout particulièrement. Ce matériau s’harmonise également en couleur avec la nature, avec le caractère escarpé des parois rocheuses et du passé industriel du lieu. L’acier change avec les influences atmosphériques tout comme le mélèze non traité et le béton apparent brut. Les parties de la rampe avec une portée jusqu’à 30 mètres ont été préfabriquées et abaissées aux endroits prévus avec une grue mobile à partir du plan supérieur – le plateau. Le complexe fut réalisé en deux phases étant donné que les travaux de construction ont du être interrompus pendant les représentations d’été. On a tout d’abord réalisé les toilettes, le bâtiment pour la restauration et le bâtiment d’entrée, puis la rampe, les coulisses et l’opéra pour enfants. 


Der Blick auf den Cateringbereich I La vue vers l’espace de restauration.

Anspruchsvolles Programm I Un programme prestigieux 
   Die gesamte Anlage besitzt zwei Bühnen, wobei die kleinere – sie wurde ursprünglich für 1500 Zuschauer konzipiert und später auf über 2000 Sitzplätze ausgebaut – für die Aufführung von Kindertheaterstücken vorgesehen ist. Die Bestuhlung der Haupttribüne wurde für das neue Projekt übernommen. Dazu kamen die zentral zwischen dem Cateringbereich und der Tribüne gelegenen, in die Böschung versenkten Toilettenanlagen. Ziel aller Interventionen und baulichen Veränderungen war, sie so unsichtbar wie möglich in die Landschaft zu integrieren. 

   L’ensemble du complexe possède deux scènes, la plus petite – qui a été conçue, à l’origine, pour 1500 spectateurs et qui fut agrandie plus tard à plus de 2000 places assises – étant prévue pour la représentation de pièces de théâtre pour enfants. Les sièges de la tribune principale ont été intégrés au nouveau projet. On y a ajouté les toilettes, enfouies dans le talus, qui sont situées à un endroit central entre l’espace restauration et la tribune. Le but de toutes les interventions et modifications par les constructions réalisées était de les intégrer au paysage de la manière la moins visible possible.


Das Backstagegebäude in einer Seitenschlucht. I Le bâtiment des coulisses dans une des gorges sur le côté.

   Die Sänger, Musiker und Laienschauspieler betreten den Aufführungsort über einen Treppenturm, der zum dreigeschossigen Backstage-Gebäude hinunterführt. Dieses ist durch den grossen Felsen der Naturbühne von der eigentlichen Bühne getrennt. Das Gebäude, das die ursprünglichen Garderoben-Container ersetzt, fügt sich mit seiner unspektakulären Kubatur, dezenten Graufärbung und seinen schlitzartigen Fensterbändern unauffällig in die Umgebung ein. Der barrierefreie Zugang für die Besucher war eine Vorgabe. Gehbeeinträchtigte und ältere Menschen erreichen die Zuschauerränge mit einem Shuttlebus über die Zubringerstrasse des sich noch im Betrieb befindlichen Teils des Steinbruchs. Diese Zufahrt wird auch für den Transport der Kulissen verwendet. Der alte Abgang zur Spielstätte befand sich hinter dem neuen Eingangsgebäude. Dieser Weg wurde in der neuen Anlage beibehalten und dient einerseits dem Personal als Direktverbindung zum Cateringbereich und andererseits als alternativer Ausgang für die Besucher. 

   Les chanteurs, les musiciens et les comédiens amateurs entrent dans le lieu des représentations par une tour escalier qui descend vers le bâtiment des coulisses à trois étages. Celui-ci est séparé de la scène proprement dite par le grand rocher de la scène naturelle. Avec son caractère cubique passe-partout, son coloris gris discret et ses fenêtres en bandeau semblables à des fentes, le bâtiment qui remplace les conteneurs des vestiaires d’origine s’insère dans son environnement en passant inaperçu. L’accès sans barrière pour les visiteurs était impératif. Les personnes à mobilité réduite et les personnes âgées rejoignent les sièges pour les spectateurs avec une navette par la route de desserte de la partie de la carrière qui est encore en activité. Cette desserte est également utilisée pour le transport des décors. L’ancienne sortie du théâtre où ont lieu les représentations se trouvait derrière le nouveau bâtiment d’entrée. Cet accès a été conservé dans le nouvel arrangement et sert d’une part au personnel de jonction directe avec l’espace restauration et d’autre part de sortie alternative pour les visiteurs.

Eine Aufführung der vergangenen Jahre. I Une représentation des dernières années.
 
   Das Projekt in seiner heutigen Form ist das Resultat einer Kombination der Auseinandersetzung mit der vorhandenen, künstlichen Landschaft und der Implementierung der einzelnen Programme. Es entstand aus der Überschneidung der organisatorisch-logistischen Anforderungen und der räumlichen Möglichkeiten, die die Landschaft zur Verfügung stellt. Das Aussergewöhnliche des Projekts erklärt sich aber zuerst durch den Ort selbst.

   Le projet dans sa forme actuelle est le résultat d’une combinaison de la réflexion sur le paysage artificiel existant et de la mise en œuvre des différents programmes. Il est né du recoupement des exigences en matière d’organisation et de logistique et des possibilités dans l’espace que le paysage met à disposition. Mais le caractère extraordinaire du projet s’explique d’abord par le lieu lui-même.

Viso

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